Peintre / Schilder           

Virginie Borsani

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Virginie Borsani nous montre un univers abstrait, pour l’exprimer, elle situe sa palette de couleurs entre les gris, les roses, les bleus et les verts perlés ce qui offre quiétude et tranquillité à ses toiles. Sa quête d’absolu lui fait superposer les couches de couleurs sans que chaque étape ne la satisfasse, ça n’est que l’accumulation des essais, le chemin parcouru qui lui permet d’aboutir à un objet complet parce que complexe et portant en lui les strates de couleurs antérieures. Prise individuellement les couleurs ne font pas sens ce n’est que leur accumulation et leur interaction qui les font exister.

Les formes abstraites qui surgissent de ces couleurs sont autant de représentations d’un paysage intérieur qui aboutit sur « l’interrogation essentielle du discours : d’où vient-elle ? ».

Avril 2010  
Mélanie Wallin, Historienne de l’Art  

 


« sans titre »

80/80 cm
2005

 

"Lumière flamboyante d’étincelles colorées, elle varie selon leur caractère et leur tempérament. S’associant au voisinage ou en désaccord volontaire. Chaque couleur préserve sa propre existence, dans l’intention d’émerger une teinte éclatante, contraste latent. Défier les couleurs atténuer leur côté séduisant pour qu’elles deviennent provocantes tout en conservant leur optimisme. Lorsque je peins une toile, j’ai envie de préserver chaque coups de pinceaux présents sur la surface, les touches se superposent, s’enchevêtrent, se croisent et se repoussent. Seule elles étaient trop faibles, insuffisantes, elles se sont multipliées. Ensuite, elles avaient certes une qualité mais elles asphyxiaient le regard. En grande partie elles sont recouvertes, parfois sans émotion, parfois avec regret, elles restent présentes dans mes souvenirs. Les repentirs sont la première couche de strates colorées. La dernière couche de couleur n’est pas unique, elle est l’ultime solution d’une série désapprouvée, de l’essence à la naissance, long chemin parcouru par des traces. De ces traces naissent des formes mais la couleur est l’interrogation essentielle du discours, d’où vient-elle ?

Juin 2005   
Virginie Borsani
   

 

 


 


« relais rouge »
40/40 cm 
2005

 


« le ciel »
80/80 cm
2005
 

 


« l’avion »
70/70 cm
2005

 


 « sans titre »
40/40 cm
2005

 


« sans titre »
30/30 cm
2005

 


« nuages »
90/90 cm
2005

 


« naissance »
50/50 cm
2005
 

 


« sans titre »
120/120 cm
 2005

 


« sans titre »
29/35 cm
2005
 

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